top of page

  Relations familiales tendues
ateliers d'accompagnement
à la parentalité en Vendée

AMELIORER VOS RELATIONS
parents-enfants/ adolescents/ mères-filles
AU QUOTIDIEN

"Mon enfant, mon ado me répond."     "Je n'y arrive plus."    "On ne se comprend pas toujours."
 

Mon témoignage en tant que maman

 

En tant que maman de 3 enfants j’ai vécu personnellement des relations mère-filles tendues, voir très tendues. J’ai découvert tardivement ce qui me permettrait de vivre des relations harmonieuses au sein de ma famille, de mon couple. Le langage de la communication non violente, qui est, en fait, plus qu’un simple langage, m’a apporté de la clarté sur ce qui se passait dans mes relations, sur l’impact de mes mots, du ton de ma voix, de ma réactivité à répondre sans avoir pris du recul . J’ai pu comprendre l’origine des relations familiales tendues que je vivais depuis des années.

J’ai réalisé que ce que je reprochais à mes enfants était, en fait, une « incapacité » à les accompagner au quotidien tel que je le souhaitais au fond de moi. J’aurais aimé être à leur écoute, pouvoir mettre des mots sur leurs tensions sans prendre parti pour l’un ou l’autre, éviter de lever la voix lorsque la colère montait, poser les limites fermement et de façon cohérente. La Communication Non Violente dans la petite enfance, l’enfance, aurait été la bienvenue dans ma maison à cette époque.

La découverte des livres et des ateliers de Adele Faber et Elaine Mazlish m’a aidée dans un premier temps à accueillir les sentiments, à exprimer ma colère. Cela a été très vite limitant pour moi, il me manquait quelque chose pour vivre plus harmonieusement en famille. Les quatre accords toltèques de Don Miguel Ruiz m’ont aussi soutenue un moment et pourtant là encore, ce n’était pas suffisant.

 

La lecture du livre «  Les mots sont des fenêtres  ou bien ce sont des murs » de Marshall Rosenberg m’a ouvert les yeux et cela m’a permis de comprendre ce qui se cachait derrière l’expression : Communication Non Violente. Les êtres humains ont des besoins qui sont universels, il s’agit de notre énergie de vie. Mettre des mots sur ces derniers m’ont permis d’agir en conscience et avec authenticité en parlant de moi. Les relations tendues mère- filles que je vivais ont pris une autre couleur.

La Communication Non Violente m’a invitée à ralentir et à m’accepter telle que j’étais, avec mes joies, mes colères, mes tristesses et mes peurs. Cela m’a permis de trouver de l’apaisement à l’intérieur et de pouvoir accueillir pleinement et avec discernement les émotions de tous les êtres humains.

La Communication Non Violente, qu’est-ce que c’est vraiment ?
 

La Communication Non Violente

La CNV ce n’est pas qu’une façon de parler, ce n’est pas magique et encore moins bisounours comme je peux l’entendre. J’ai appris à faire des demandes « Est-ce que tu pourrais ranger ta chambre car voir tout ce linge par terre m’agace vraiment, j’aime tellement voir les choses à leur place ? » Cela ne signifie pas que je vais obtenir une réponse favorable à ma demande. J’apprends à entendre non. En CNV, j’apprends à entendre NON et à découvrir à quel besoin l’autre dit OUI en disant NON. J’entre en relation avec l’autre, je vais dialoguer pour que chacun puisse être entendu. Cela nécessite d’être au clair sur « Comment je me sens vraiment ?  Suis-je paisible à l’intérieur de moi ou suis-je envahie d’émotions qui me font bouillonner devant des vêtements qui sont posés çà et là au sol ?"
En CNV, je vais aussi apprendre à dire non, à vraiment dire NON
.

 

Les ateliers d'accompagnements à la parentalité


C'est ainsi que j'ai fait le choix avec une collègue de réfléchir à des ateliers d’accompagnement à la parentalité. Ceux que nous avons construits vont vous permettre de clarifier ce qui se passe en vous, à vous écouter, à prendre le temps de vérifier  votre intention avant d’aller vers l’autre, à vous relier à l’autre, c'est ce que nous appelons l'auto empathie.

Dès l’enfance, beaucoup apprennent qu’il n’est pas bon d’exprimer ses émotions. Les fameux « C’est pas grave ! », «  C’est rien ! » que nous répondons parfois à nos enfants contribuent à cela sans que nous mesurions l’impact que cela peut avoir. En Communication Non Violente, il n’y a pas d’émotions positives ou négatives, il y a des émotions agréables et des émotions désagréables qui parlent de choses importantes pour chacun de nous, nous les appelons les besoins.

     Communication Non Violente éducation

Eclairage de la pédiatre Catherine GUEGUEN

Catherine Gueguen, pédiatre depuis de longues années, souligne que les connaissances scientifiques sur le cerveau bouleversent notre approche de l’éducation. En effet, les neurosciences affectives et sociales révèlent que les relations chaleureuses, bienveillantes permettent aux enfants de développer toutes leurs capacités affectives, sociales et intellectuelles. Les neurosciences nous permettent aussi de comprendre les attitudes déroutantes de nos enfants : colère, pleurs….Catherine Gueguen affirme que « l’ on ne peut plus élever les enfants sans tenir compte de ce qu’ils sont et de leurs souhaits légitimes d’être respectés et compris ». Pour elle, « pratiquer une communication bienveillante ou communication non violente" est une grande aide. Celle-ci modifie en profondeur notre façon d’être et permet d’adopter une attitude empathique avec soi-même et avec les autres ». (Vivre heureux avec son enfant, un nouveau regard sur l’éducation au quotidien grâce aux neurosciences affectives, Robert Lafont, Paris, 2015)

 

Exemples concrets

Si l’enfant a un comportement inadéquat, je peux choisir de le culpabiliser, le ridiculiser « T’es nul. », « T’aurais pu faire attention quand même ! », « T’es le maladroit de la famille. » ou lui dire « Je te fais confiance, en grandissant tu vas apprendre à faire autrement. ». Cela nécessite tout un cheminement en tant qu’adulte.

Communication non violente petite enfance-enfance

 

Chez les tout jeunes enfants


Lorsque les bébés pleurent ils nous informent qu’ils ont besoin de quelque chose et comme ils n’ont pas le langage, nous allons les voir et essayons de les comprendre avec douceur et délicatesse. Pourquoi, notre attitude change lorsque l’enfant grandit ? Pourquoi nous supportons moins les cris, les colères ?

Parfois nos réactions en tant que parent peuvent être disproportionnées par rapport à ce qui se passe. Mon enfant casse de la vaisselle, je peux réagir vivement : « C’est pas possible, encore un verre de cassé, et comme par hasard c’est encore toi ! ». Dans cette situation, je n’ai pas pu/su accueillir mon émotion. Aujourd’hui, je sais qu’en fait « j’explosais » car je ne parvenais pas à écouter mes émotions tout au long de la journée, comme si je les étouffais et à un moment elles explosaient. Accueillir ses émotions, les identifier, ça s’apprend, cela nécessite de l’entraînement. En tant qu’adulte il me semble indispensable aujourd’hui de développer cette sensibilité. Il en va de même pour l’enfant : apprenons-lui à nommer, à accueillir ses émotions. Cela lui servira tout au long de sa vie : vie personnelle, professionnelle. Les adultes et les enfants prendront ainsi soin d’eux et des autres.

Quelques repères intéressants


De 0 à 3 mois, le tout petit bébé est très sensible à la mélodie et aux émotions des parents (tristesse, joie, colère…) Il les comprend déjà très bien. Les cris et les pleurs sont les seuls moyens qu’il a pour communiquer.
De 3 à 6 mois, c’est le début de l’imitation. On peut commencer à lui faire des petits gestes comme « au revoir ».
De 18 à 24 mois, il commence à imiter le comportement des adultes sur les peluches et autres figurines dont les poupées (donner le biberon au poupon). Il répète les mots entendus.

Communication non violente enfance : que faire face à la colère ?

Je fais quoi concrètement si mon enfant fait une grosse colère ?
Concrètement il n’y a pas de solution ou de parole miracle et cela dépendra de l’âge de l’enfant. Je ne souhaite pas
développer sur ce qu’il est possible de faire ou pas car de mon point de vue travailler sur la colère nécessite un temps de partage, de clarification entre adultes et ajuster sa posture.
Je peux néanmoins dire que cela nécessite de la part du parent d’oser mettre des mots sur ce qui se passe, d’oser aussi parler des colères en dehors des moments de crise. Lorsque l’enfant est en colère il ne peut répondre à « Pourquoi tu es en colère ? ».
La première chose de mon point de vue est : apprenez à être plus à l’aise avec vos émotions et venez découvrir lors des ateliers de quoi parlent vos émotions.

Et seulement après il serait possible de mettre en place des stratégies concrètes : la boîte à colère, la chaise bulle…. pour accueillir la colère et pouvoir en sortir de façon plus paisible.

 

Aujourd’hui, mes relations mère- filles sont apaisées car je me suis apaisée. Je crois que la clef est là pour moi : s’apaiser, comprendre, ralentir, accueillir la vie, le mouvement, les imprévus, choisir de devenir inspirante pour ses enfants et choisir de les accompagner différemment tout au long de leur chemin de vie.

                         Je vous propose à l'aide des ateliers         

                d 'accompagnement à la parentalité en Vendée :

de mettre des mots sur vos émotions,
de découvrir et d'expérimenter les différentes formes d'écoute,
de mettre en pratique différentes formes de langage,
d'accueillir l'autre et de vous exprimer plus clairement,
de vous affirmer tout en respectant l'autre,
d'utiliser les mille mercis du quotidien 

en alternant des moments théoriques, des mises en situation à partir de vos exemples du quotidien, des partages d'expériences....

 


 8 séances de 2h30 par module à raison de 2 séances par mois
Module 1 :  découvrir les bases
Module 2 : s'entraîner et approfondir

pour prendre soin de moi et de mes proches
pour enrichir et embellir mes relations

pour être inspirant pour mes proches

 

Ateliers mis en place
dans le Maine et Loire
par le Centre Social de Chemillé
et réservés aux personnes du territoire.

En Vendée, en recherche de financement.



 

R_edited_edited.png
R_edited_edited.png
R_edited_edited.png

Témoignages de participants aux ateliers 
 

« Les premiers mots qui me viennent : amour, respect, bienveillance, émotions libérées. Ensemble au travers de nos histoires, dans le partage des mots, des paroles, du corps qui se libère des tensions, de l’écoute, de s’autoriser à prendre du temps et prendre soin de soi, tout cela finit par contaminer généreusement les personnes qui nous entourent, à chacun son rythme. Encore mille mercis à toi Karine, toute ma gratitude, j’ai beaucoup appris dans ta façon d’aborder les ateliers et ta transmission ! »

 


 

La découverte d’une façon d’être au monde différente, nouvelle, plus juste.
Des moments d’échanges, de rencontres, de partages humains et d’expériences de vie
Vivre un moment pour soi, juste pour soi, dans le respect de qui je suis, de qui  nous sommes sûrement
Des outils de communication (mise en mots des émotions, des besoins, des verbalisations) tellement nécessaires à mon goût,
Une grande pierre à l’édifice de qui je suis et veux être grâce aux valeurs transmises comme le respect, la prise en compte du rythme de chacun, l’absence de jugement, l’amour et la bienveillance, enfin l’écoute empathique. Ca c’est difficile parfois mais quel beau challenge, de s’accueillir mutuellement !
Temps d’éveil, envie d’avancer et d’aller plus loin, gratitude oui !

 


 

Une bouffée d’oxygène dans ce monde où nous devons sans cesse courir ou être parfait
Un bien être où nous sommes acceptés tels que nous sommes vraiment.
Une écoute et des échanges enrichissants avec une formatrice formidable.
Le tout dans la bienveillance, la simplicité et le respect de chacune.
Et encore : un IMMENSE MERCI ! »

R_edited.png
R_edited.png
R_edited_edited.png

Public
 

Parents, futurs parents

Beaux-parents

Grands-parents

Assistantes maternelles

Aides-maternelles
Personnes de la petite enfance,
Personnes de la santé et du social
Personnes de l'animation et des loisirs



Associations, collectivités, participation de 300€ par séance pour 12 personnes.

bottom of page